poème

vous pouver ici poster tout les poème que vous voudrez

Invité

te regarder est une joie
a chaque fois que je te vois

pour iluminer ma journée
je nais besoin que de te regarder

avant je menait une vie incipide
maintenant vivre sans toi me semble impossible

depuis que tu a apparu dans ma vie
tout me semble plus jolie

je nais plus qu'une seule raison de rester en vie
c'est que tu me sourit

Le soleil ne brille pas tous les jour
Après des jours de plus ne brille-t-il pas plus
de m^me nous ne somme que des bougie au côter du soleil.
alors sourions les jour de pluie

Je pleur de solitude que la vie imppose
Je pleur car la solitude m'accable sans le vouloir
Elle aussi aurrait voulu une amie
Je ne puis lui donné se qu'elle demande
Mais comment lui refuser se je seule?

Invité

sèche tes pleurs mon amour
car je suis la pour te faire la cour

a tout les jours
tu m'inonde d'amour

bloti contre ton coeur
je ne peut resentir de peur

dans tes bras je suis en sécuriter
car de ton grand amour je suis entourer

sur mon amour tu pourra toujours compté
parce que mon coeur tu a su emporter

tout les obstacles je surmonterai
pour continuer a t'aimer

dans mes bras tu trouvera du réconfort
et je veyerai sur toi meme pendant que tu dort

c'est temps si te font soufrir
mais je serai capable de t'arracher un sourir

-Celui qui dit qu'il sait
celui là beaucoup encore apprendra

il ne luiresste qu'a faire passer
cette ironie ca lui apprendra!

(c'est bien se que tu écrit alex Razz

)

Invité

merci bcp je doit avouer que j'ai de la peine a lire les tien mais sa donne un air très songer et profond What a Face

-Il faut dire que je hais le 14 février mais bon c'est comme ca! Profond?C'est si noir? Non non je réfléchis seulement avec ma tête ca aide parfois (même pour une blonde) :lol!:

-Comment fait-on pour savoir qu'il y a de la lumière?

(question piège)

Invité

la switch est a on lol non hee att la hmm ouin ouin pas facile la question

on c quand il y a de la lumière quand tout nous apparait beau le fun et joyeux(ben tk ca c ma version pour l'instant) non

-Ca pourrait être ca sauf que la vrai réponse est:

On en percoit l'ombre... *(trop foqué Idea

)

Le temps est venue de découvrir le vrai de dénicher se qui nous semble être la vériter.À bine y songer elle n'existe que dans une seule chose idéfinissable et celui qui trouveras la réponse de la vériter ne pouras être que menteur.

Le regard du ciel de gris
le soleil souris sa perte
Son plus rire souris
L'illusion que l'herbe est plus verte
n'est que l'illusion de la pluie

Black Star of Hope - Nombre de messages : 111 Date d'inscription : 29/11/2005

nan masi sa c'est triste -_- tu dois faire un truc de beauté joyeuse xD

bon je sais ... la joie sa inspire pas trop ... je te met au défis xD

Ton sourire comme une joie au coeur de mes souvenir le reste ne se dit pas tes mot comme le souffle d'un espoire mais le reste ne se dit pas la tendresse d'un corp contre l'autre et finalement le reste ne se dit pas

Le soir à la pénombre les images ne vivent que dans l'imagination du temps,
Je vie au moment ou la lumième se meurt la force d'un monde qui n'attend que le plaisirs de revoir le amant de la nuit,
Il nous faut rêver le temps d'une paix prochaine et innoder de joie de pure pardon,
Paix d'une âme noire, de deux corps au lueur de l'aurore, la paix des secret trop lourd,
Laisser donc les histoire passer dans l'oubli pour retrouver l'insoucience des enfants,
Une rose sans ses épines, les larmes mais seulement de joie,
Les coeurs pures de vivre de nouvelles expériences là où la vie est plus qu'une histoire.
Plus que le ciel est le ciel, plus que la terre est la terre.

Invité

J'aime l'ambivalence que cré les sentiment contradictoire
J'aime L'absence quand la présence devient écrassante
Avec toi le paradoxe est mon dortoire
Avec toi rien il n'y a qui la minute présente
Sans toi il n'y a plus d'échapatoire
Sans toi il n'y a quune détente....

Toucher! Parce que je me suis laisser atteindre... Et puis quoi je n'avait pas le droit?

Première bombe éclate sans aterrir sur moi elle a toucher la personne la plus importante pour moi..

La deuxième me lacère le coeur sans pure raison seulement parce que la première est atterit la bas...

TRoisième ne me sera pas fatal j'ai perdu la raison seule il ne reste que le bruit des bombe et mon coeur qui bat!

Une de plus comme expliquer se qu'on a perdu... Un membre de l'âme qui ne revit pas...

La dernière, Pour se qu'il me reste, le mirroir des larmes n'ont pu assècher tout se feu qui brule autour de moi...

( Se qui ne se comprend pas par les mots se comprends par les sentiment ces choses intangible que l'ont ne peut que très rarement mettre sur papier ... C'est comme parler dans le vide mais au moins l'ouie du silence écoute!)

Je suis las, novembre
il n'y a que le reflet de la glace dans tes yeux mon ange
il'ny a plus que toi toujours plus froid novembre,
Nous reste-t-il des souvenirs de chaleur?
Un coin de feux pour deux
Et ton sourire menteur
Il nous promet des diamants novembre
Il nous les promet pour nous les reprendre
nous reste-t-il autre chose que le silence qui siffle
Un coin de gris de la ville qui nous giffle ?
Je suis las novembre,
J'aime les yeux que tu me fais
tu me fais sourire d'une souffrance que je ne peu feindre.
je suis une feuille dans le vent et dans le traffique !

Mensonge

Sur les rideaux de tonnerres
Sur ma peau et les aurores
Sur le verre sur la folie
Je supprime ton secret

Sur toutes les falaises écrus
Sur tous les écrans frivoles
Saphir, furie, page ou peau
Je supprime ton secret

Sur les hérons lézardés
Sur les blés des distances
Sur la paix des pivoines
Je supprime ton secret

Sur la symphonie et les silences
Sur les projecteurs sur les anges
Sur le fruit de mon élan
Je supprime ton secret

Sur les déserts des étoiles
Sur le souffle fangeux des écrins
Sur les appétits nébuleux
Je supprime ton secret

Sur tous mes tableaux de soleil
Sur les vivoirs secondes emmurées
Sur le baiser cigare éteint
Je supprime ton secret

Sur les stylets sur la mémoire
Sur les ceintures des nuances
Et sur le rivage des guitares
Je supprime ton secret

Sur chaque froid du portrait
Sur l’arbrisseau sur les paumes
Sur l’échafaudage métissé
Je supprime ton secret

Sur l’oreiller des peintres
Sur les lettres de la lumière
Sur la mélodie affable et cuivré
Je supprime ton secret

Sur les lunes aguichantes
Sur les calmes des frémissements
Sur l’auréole oblitérée
Je supprime ton secret

Sur les nuages épanouis
Sur les matelas ravagés
Sur les crayons qui hurlent
Je supprime ton secret

Sur l’autoroute qui humilie
Sur l’obstacle qui s’effrite
Sur mes masques envisageables
Je supprime ton secret

Sur la terre noyé en vain
Du tissu et de mon œil
Sur mon nénuphar poème sourd
Je supprime ton secret

Sur mon lit floué et seul
Sur mes papillons d’automne
Sur son amitié humide
Je supprime ton secret

Sur l’orage de ma conciliation
Sur les lampes ouvertes
Sur le mouchoir de l’eau fumante
Je supprime ton secret

Sur le sommet de mon étranger
Sur les coquillages fragiles
Sur chaque trépas qui se défend
Je supprime ton secret

Sur la morsure des pierres
Sur les ongles funestes
Bien au dessus des écrits
Je supprime ton secret

Sur mes loisirs corrompus
Sur mes lierres refoulé
Sur les meurtrissure de la vérité
Je supprime ton secret

Sur l’envi sans l’emphase
Sur l’équilibre équarri
Sur les centres de table
Je supprime ton secret

Sur la clé entendue
Sur les flammes risquées
Sur l’horreur sans départ
Je supprime ton secret

Et par le trait d’un instant
Je fuis mon privilège
Je suis muette pour te survivre
Pour te fuir

Mensonge

Nombre de messages : 56 Age : 34 Date d'inscription : 03/05/2006

avec des millions de secret d'ambivalence
Au milieux des mort en partance
Ignorant l'espace du temps téméraire
Supliante littéraire
N'oubliant que l'oublier
vivant pour les mort

Avec qu'une seule lumière
au milieu d'un monde en prière
Ignorant l'espérance de la vie
Supliant la mer dans son lit
N'oubliant qque l'oublier
Vivant pour les mort

Nombre de messages : 10 Age : 33 Date d'inscription : 31/10/2009

première parti de ma vie, j'ai marcher sous le soleil, j'y ai affronter plusieur ambuche
la pluspart me parressant insurmontable et me laissant preske mort,
mais le chemin devant moi avait toujours l'air plus hospitalier que celui que je venais d'affronter.
maintenant, la nuit est tomber je ne voi pas devant moi,
je passe mon temp a regarder pardessus mon épaule,
je n'ai pas vaincu mes ennemis, ils sont derrière moi me poursuive,
je passe mon temp a regarder derrière moi avec crainte.
j'ai perdu la volonté de me relever, mes plaies ne veule plus cicatriser, chaque pas devien plus lourd.
Si seulement le soleil pouvait se relever,
mais malheureusement il est mort
j'ai peur d'avancer, peur du lendemain,
je voudrais me bander les yeux, perde tout mes sens