Les catacombes

Arpenter les terres ne servait plus a rien il en connaissait déjà trop les paysages défilaient devant ses yeux sans lui porter le moindre intérêt. La neige avait été depuis longtemps remplacé par la terre pourtant il espérait toujours voir les côtes glacer ou une plaine enneigé. Nostalgie? En y pensant bien c’était le seul endroit ou il n’avait pas eu peur ou il n’avait perdu personne ou il n’avait plus besoin de penser a rien le seul endroit ou rien ne comptait vraiment ou l’insouciance était accepté sans remord.

Aujourd’hui l’erreur n’était plus permisse le moindre écartement pouvait lui valoir chère. La vie avait passé elle était loin derrière… loin… et maintenant il devait vivre son enfer.

Le bruit de ses pas résonnait gravement sur le pavé puis entièrement dans le couloir. Sous ses lunettes qu’on discernait peu on remarquait les iris de couleur doré qui observait chaque mur léchant les parois du regard. Les crânes s’alignait droit tendis qu’Inwë continuait insensiblement son chemin.

*Ils sont tous déjà mort *

Venir en un endroit sombre… lugubre solitaire il en avait ressentit le besoin avant même d’arriver devant la mort de se qui lui donnait espoir. Plus rien n’avait de sens vraiment... pourtant il avait bien décidé de changer et de trouver une nouvelle source ou puiser réconfort. Si Alessandro était mort il ‘était pas obliger d’en faire autant. Il maudissait le fait de l’avoir tant aimé de l’aimer encore malgré tout. Et il cherchait quels plus petits souvenirs de souffrances il avait pu lui faire subir cherchant désespérément à le détester, à l’oublier…

IL espérait maintenant occuper ses pensées. Car il en était sur rien ne pourrait le faire plsu souffrir qu’il en le fessait déjà a ne penser a rien. Son manteau noir le couvrait presque en entier son teint pale était bien couvert par ses vêtement tout aussi sombre et la pâleur de son visage diminué par ses cheveux de jais qui en cachait une bonne moitié la seule chose qui pouvait encore être discerner dans une telle noirceur restait ses yeux doré dont l’éclat ternis ne ressemblait plus que rouillé sous les fin verres qu’il portait.

-Tu est seul mon frère tu ne devrais pas il y a longtemps que les n'autre ont un autre endroit pour vivre.

Il y avait des éterniter q'un vampire ne s'était pas rendu jusqu'a Xâ et une éternité est encore très court pour décrire le temps qui avais passersious le pont en faite très peu des leurs avaient laisser une marque dans se monde au couleur étrange préférant de loin vivre ailleurs.

-Excuser moi de mon entrer en matière je suis trop brusque et je m'en excuse s'incèrement.

Elle continuait à marcher au côté de l'inconnue sans vouloir savoir qui il était et se qu'il fesait simplement laisser passer sa solitude d'une manière ou d'une autre. Il n'y avit pas de s'entier mais la neige n'était pas épaisse s'enfoncans à peine sous leurs pas.

La ciel avait l'air moin bleu des tunnel mais se fait était pour lors anodin et atrcoment ennuyant alors elle laissa le bruit de ses et ceux de l'inconnue marqué l'espace de la sonorité de l'endroit désert.

Eut-il vraiment entendu arriver Cette dame ? S’il ne l’avait pas entendu malgré ses fines oreilles il n’en laissait pourtant rien paraître. En fait il ne laissait pas même voir le fait qu’il la sachant présente a lui parlez, a le regardez, continuant inlassablement son chemin. S’ajoutait maintenant au son de ses pas ceux d’Anako. Les secondes s’écoulaient, le temps lentement passait, ne laissant comme trace que l’avancé de ces deux étranger.

Ce temps était seul à lui échapper. Seul qu’il ne pouvait contrôler par ce qu’il n’avait lui-même pas de regard pour le voir. Aurait-il dut en faire autant d’Alessandro ? Désobéir pour sauver sa propre vie ? Il aurait pourtant tué une partie de celui qu’il aimait tant. Aujourd’hui son âme n’était-elle pas dispersée à la brise et au vent à la si légère bise et à la forte tornade ?

*N’as-tu donc été jamais aussi libre avec moi que tu ne l’aies maintenant? *

Tant de pensée le hantaient tant d’incertitudes le tenaillait tant de hargne… l’envie du sang non pas par manque ou par besoin, simplement pour assouvir vengeance. N’avait-il pas droit à cette vengeance ? Toute cette vie n’avait été que futile elle ne lui avait servie a rien sa mort n’en était que plus affreuse à ses yeux. Pourquoi se laissait-il envahir si facilement par de telles questions?

- Mais cher ange qui vous le dit ? Qui vous dit que moi-même je suis ce que je suis ? Je ne suis pas. C’est plus simple de voir ainsi.

Il se sentait d’humeur poète mais êtes-ce bon signe? L’humeur du poète qui écrira de sa main avec son propre sang sur les parchemin des vieux la destiné qu’a été promise a Lucifer et a dieu, écrivant les histoire sombre des anges décimé dans les rangs des batailles et décrivant mainte fois massacre de démon, qui ont fait saigner les cœur les âme jusqu'à transpercer l’âme d’un seul coup de fouet, tacher la connaissance et l’innocence de sang et de péché.

Mais il eut une faute qu’il ne put supportez en cette seule phrase qu’elle lui avait dit. Les yeux doré flamme de son regard, Feudor la fixait jusqu'à faire reluire ses propre pupilles dans le blanc de ses yeux gris a le faire lentement changé a le ternir, d’un cuivre rouillé. Le temps avait –il arrêter ou simplement leurs pas? Peut-être son cœur... mais il ne battait plsu depuis longtemps voila faute qu’elle avait faite voila l’erreur qu’elle avait pu dire haut.

- Je vivrais parmi les miens au côté de ceux que mon cœur me dictera mais cette vie est passée. Dans cette mort je ne ferais donc qu’errer cherchant silence dans le bruit. Cherchant réconfort en ma propre personne, en une solitude profonde et j’y trouverais mon propre chemin mieux que je ne le fait aujourd’hui. Je marche aux côté de ceux qui me ressemble n’avez-vous donc pas vu ?

Éclair de douceur dans sa voix et étincelle de couleur dans ses yeux tendis qu’il fixait les crânes qui s’aligner en une rangé parfaitement ordonné le long des murs de terre et de ciment soutenu de poutre glacé. Regard perdu tendis que la noirceur prenait place entre eux tendis que les songes envahissait ses yeux.

[c'Est lui ou moi qui est d'humeur poétique ? XD je me demande...]

Le regard de l'inconnue était intense, sa pupille doré pénétra doucement mais inpalcablement celui du regard gris d'Anako. Il lui paraissait d'autant plus intense augmenté par ses pensées quoi qu'indéchiffrable pour anako.L'homme avait pénétré en lui même et rien ne laissait croire qu'il pouvait sortir de cet état même si le froid se fesait sentir mais ni l'un ni l'autre n'en semblaient icommoder.

Elle ne le ressentais plus depuis longtemps.Ses années de solitude amère lui en avait laissé la sécheresse et pour tout gage de récompense l'espoire de ne pas finir ses jours atrocement seule. Aucun ne lui était ennemie et pourtant la solitude la rongeait comme une maladie incurable.

Ces songes seul lui procurais la sensation de vivre en compagnie d'autres personnes et même si elle savait que la présence de l'homme à ses côté n'était que provisoir elle en profiterait. Elle ne voulais pas entendre parler ou qu'il n'est d'yeux que pour elle, elle voulais simplement ne pas se savoir seule.

Elle ne voulais pas le dérangé dans ses réflexion et maintenant qu'il avait stopper devant le mur de crane elle décida de s'assoire par terre.

Paisiblement adosser à un mur, elle pensait elle aussi imitant les action de l'inconnue sans le vouloir.Que fesait-il ici? Il avait sûrement une raison. Mais Anako elle que fesait-elle en cette endroit de l'origine. L'appelle mais pourquoi? Ses idées était très claire mais les réponses elle tarde à venir. Existait-elle ou était-elle seulement super flux dans les jeux du destin.

Il sentait naître cette douce mélodie, naître la musique en lui les paroles et les notes pour oublier son soucis, oublier larme de sang oublier cet amour qui lui était infidèle. Mais il n’avait rien pour le jouer que sa voix. Pourquoi pas un violons? Ou un piano pour laisser s’évader toutes ces notes qui le harcelait déjà.

* Padrone…Padrone inesatto, Come si può morire quando si lo era déja? detto io Alessandro caro quale era dunque la differenza tra vita e morte dinanzi allo trépas del vostro cuore?... c'lo era... *
Maître...Maître infidèle, comment peut-on mourir quand la mort nous a déjà pris? Cher Alessandro quel était donc la différence entre vie et mort devant ce trépas alors que votre cœur ne battait plus déjà ni même pour moi? ... êtes-ce moi ?...

Il regardait fixe ce mur devant fixe, les yeux vide tout comme son visage, de toute émotion. Aucune larme ne tomberait ni aujourd’hui ni demain il ne se repentirait pas sur Alessandro. Pourquoi tourner la page était si dure ? Pourquoi il ne pouvait pas le faire comme les autres ? Par ce qu’il n’était plsu des leurs … ou alors par ce qu’il ne l’avait jamais été? IL avait envie… de tous les voir hurler de douleur tous mais qui donc ? Qui était concerné par ce tous? Le monde ! Les humains les vampires !

*con morbidezza per più sofferenza con carezza per più emergenza tutto ciò i loro offrirei a tutti... tutti quest'idioti... *
avec douceur pour plus de souffrance avec caresse pour plus de détresse tout cela je leurs offrirais a tous... tout ces idiots...

Les humilier a raconté la réalité les mensonges qu’ils ont déformé en vérité les secrets mal gardé qu’il aurait laissés sans honte et regret. Sans pourtant les tuées... Juste leurs enlever le goût de la vie ne serais ce que pour les aidez à passer leur mort sans chagrin. Revenu de ses sombres pensées de ses songes éveillé il ne tenait plus qu’à un fils pour qu’il laisse tomber ce léger fils qui le retenait a la raison pour que la folie l’emporte autre part... Et c’était encore anako qu’il fixait toujours ses yeux brillant tendis que les siens prenait une habituelle couleur doré lumineuse qui laissât terne à côté les couleurs sombres des catacombes.

-C'est bien poétique tous ça!

Elle se parlais à elle même sans prêter aucune attention à l'inconnue. Elle aurais put savoir son nom mais quel importance celà pouvait-il faire dans un monde ou les nom change ou les langues ne dise que de mots appartenant au vipère pas grand chose de nommer les chose si elle son plus belle sans.

-(chante) les eaux de la mer se sont retirer laissant mon coeur geler comme si le froid de l'hiver n'est que brise printanière souffle souflle vent de liberté tu m'as laisser tomber de ton dos ailler tu n'est plus venue me chercher ... nananan nananan nananan nananananana .....adieu (chante)

Et comme si la chanson ne se tariais pas elle tournais et tournais dans sa tête comme une valse qu'elle n'a jamais danser et que ne dansera sans doute jamais infi immortalité de lui était donner que pour la faire souffrir c'est un beau cadeau empoisonner.

pour un instant les cailloux à ses pied lui parrur des montagnes et les montagne des cailloux tous étaient relatif alors comment pouvions nous dire que l'on connais les chose. Connaître n'est peut-être pas se que l'on croit appraît tout.

(kath sort moi de là si je continue je vais devenir folle.....)[/code]

- Dis-moi donc que tu connais en plus de l’italien le russe l’espagnole et le tylanique!

Il avait ajouté a la fin de sa phrase un sourire défait. Ce qui était certain c’est qu’elle devait avoir un affreux caractère pour faire exactement ce qu’il ne fallait pas.

- Ca’isuta odiouté…ce qui est le plus chère au monde ce n’est pas ses secrets ni ses pensée mais c’est son passé.

Ses erreurs ses fautes… ces choses passé ces choses qu’ils disent avoir oublié, c’est faux ! Tout le monde se souvient… de la perte d’un ami du plus bel amant à la plus séduisante gitane. Et pourtant... oui c’est idiot… c’est idiot par ce que sa ne devrait pas être ainsi. Que rien n’allait comme il fallait. La vie changeait patiemment… pendant toutes ses années elle n’avait pas cessé de changé. Les gens devenait anti-sociable il ne cherchait plus que vengeance, et s’il devait la trouver envers un innocent il le ferait pourquoi se priver ?

- mais par pitié arrêter de chanter.

Il allait avoir un sacré mal de tête. Peut-être que c’était déjà trop tard… et puis sa chanson différait énormément de celle dans sa tête, les chants se mélangeait déjà et les musique ne concordait qu’a lui donnez un affreux ramassis de paroles sans sens et de notes entremêlé.

Elle arrèta net de chanter elle sortait d'un étrange songe plus rien ne lui parraissait comme quelque minute au paravant il n'est nullement question de l'homme mais d'un frère que se passait-il?

-C'est bien étrange de poser deux fois la même question mais quelle est votre vériable nom ou qui êtes vous biensure vous pouvez taire se quel voudrez mais je doit savoir vous n'êtes pas... Je divague excusez moi.

Elle était perdu se cherchant elle même en cette occasion aucune chance! Plus rien n'était se qu'il devait être une seul personne en se monde pouvait faire cela et se n'était pas elle!

-Je ne veux rien de votre passé je veux le mien par pitié aidé moi votre coeur de pierre n'en est pas uns je vous en suplis.

Elle sentait la panique monté parcelle par parcelle dans tout son corp lui donnant d'horrible tremblement genoux replié sur elle même la tête appuyer sur ceux-ci comme pour retenir on ne sait quoi...

-Par pitié....

Un dernier appel à l'aide plus rien dA'utre ne sortait de sa bouche...

Un nom ? Ce n’était rien pourquoi lui donnez un nom ? Pourquoi la détresse la prenait coup sur coup. Elle ne pourrait pas la tuez cette tristesse, les moeurs ne réussissent jamais a vaincre la vie. Elle pourrait tomber cela n’y changerais rien elle vivrait encore et inlassable il la voyait succomber doucement. Soit il lui donnerait se qu’elle désirerait.

- mon nom n’a sûrement aucune importance, mais on me nommait Milli je me nomme Inwë et on me surnommé feu d’or, flamme du passé. N’est ce pas ironique ? Mais au vrai… je n’ai pas de nom. En fait … selon plusieurs je n’existe pas, selon les miens je suis différents, et même les anges doivent me trouver étrange.

C’est de père en père qu’il changea de nom passant des bras d’un a celui de l’autre comme une poupée de porcelaine qu’on gardait sans y toucher sans l’abîmer. Jusqu'à tomber, tomber aux mains de son maître. A sa mémoire aucun vampire n’avait hérité d’un tel don, il était le seul.

-Chaque question est unique selon sa réponse, mille fois on me la posera mille foison me l’a déjà posé et chaque fois un mot différait un ton changeait. Rien n’est étrange au fond.

Le sien ? Mais que lui servirais t-il ? Le passé forge le présent et sans passé … on ne forme aucun présent…aucun futur pouvait-il vraiment lui donné le sien ?

- saura tu changé tes plans futur pour t’adapter a ce que t’a donné ton passé ?

Ce manoir que tu veux construire tu en peux pas, cet hôtel que tu veux pour toi tu en peux plus, ces château et ces merveilles toutes ses splendeur tu ne peux pas te les permettre, tu devras commencer bas… aucun son ne s’était fait entendre et le silence semblait envahir tout. Pourtant il avait bougé, il tenait maintenant son visage a quelque centimètre du sien. Les mèches noires lui barraient toujours les yeux qui brillaient de cette flamme doré qui lui valait son surnom. Sa cape noire léchait le parterre et la poussière s’était levé en un léger voile tendis qu’il se tenait pied sur la terre les genoux plié pour pouvoir atteindre sa taille et les mains tombante sur les genoux. Il la fixait. Toujours fixé… figé le temps... figé l’image… savoir si sa en valait la peine.

Dans ses yeux fusèrent des éclaire même si jamais c'est émotion ne devait remonter à la surface elle était seule maintenant

- Vous êtes inorant voir imbécile si je ne me trompe au faite je ne m'en vante pas mais je connait beaucoup ta vision du aurais changer si tu avait toujours été immortelle il ne fille pas comme la rivière c'est un lac ou se côtois passer et avenir le présent n'est alors q'un subterfuge.

Elle se laissa retomber

-Je ne suis pas faible seulement anéanti je connais le chagrin c'est horible vous lui ressemblé tellement...

-Je sais bien que c'est impossible mais...

Il eut un fin sourire, oui, oui il était ignorant et celui qui proclamerait qu’il ne l’était pas ne devrait as existé. C’est pour apprendre que l’ont avais créé la vie pour apprendre à l’ infini les immortelles. Exister ne servait plsu qu’a cela…. Qui pouvait donc se vanter de tout connaître de tout savoir de totu avoir vécu ? Pas même les dieux ! Mais il n’était pas censé exister…. Il n’aurait pas du et pourtant il continuait malgré le fait que sa vie n’aurait pas même du commencez défiant encore les lois devenant immortelle, défiant la vie et la mort, et maintenant il défiait la raison grâce a cet étrange don. Il défiait les anges de simplement lui apparaître.

- hé oui, Alessandro me le disait souvent aussi.

Mais justement il n’avait pas toujours été immortelle, cette existence qu’il menait il ne la comparerait jamais a un lac ou une simple rivière, car il pouvait chevaucher les affluent, il n’était pas pris dans cet espace fermé comme tant d’autre, ce n’était pas une mer, ni un lac. C’était un ruisseau souterrain qui lui permettait de voir les autres.

- non pas un lac, car on apprend de ces erreur je déteste la routine.

Combien de fois avait-il entendu le mot impossible ? On racontait que les démons n’existait pas qu’il était impossible de créer le monde selon le vouloir d’une simple personne, impossible d’avancer encore, impossible de vaincre son ennemi. C’est ce mot qui lui empoisonnait la vie.

- C’est que tu n’as pas assez d’espoir voila la seule raison qui peut rendre impossible quelque chose. Le fait que tu la crois impossible.

Ainsi dites cette phrase semblait idiote, pourtant elle était vrai.

Il recula, reprenant sa place soulevant à nouveau la légère couche de poussière par terre. Une jambe replié vers lui il prit ses lunettes, tenant les verres fins dans sa main droite il fixait le sol. Ces yeux semblaient souvent d’un éclat jaune vif qu’on confondait au feu avec ses quelques reflets orangés, pourtant c’était grâce aux verres qu’il réussissait à modifier complètement sa vision. Ses yeux alors aux multitudes d’étincelle d’or se mélangeait aux reflets argentés. Alors il ne voyait plus… plus que le noir infini dans lequel marchaient inlassablement les gens, et leurs yeux ne reflétait plus qu’une pale lueur de fantôme, et fixant le sol dans la réalité tout comme il fixait le noir béant a ses pieds.

-Je n'est plus d'espoire c'est vrai on me l'a arracher de force j'aurrais pus dire que pour moi tout est possible m'est ici c'est la foi en quelque chose qui la rend réelle mais c'est Métrix qui y arrivais moi je ne suis que le rationnelle de l'irationnelle.

Son regard perdu dans un autre temps figeait se qui lui restait d'âme l'oublis jusqu'ici lui avait procurer le repos de cette partit d'elle qui l'implorais de mourrir. Des vague souleverèrent sont et fit sortir de ses yeux de jade une seule larme même si pourtant des ouragan la torturais.

- Vous savez je ne peux resté avec vous et resté à la fois amnésique cela peut vous parraître étrange mais il en est ainsi et il devrais en resté ainsi vous me voyez troublé alors que je devrais pourtant être forte et soutenir les mien je suis désoler.

Elle l'approcha et tendit la main vers son bras essayant de rammené son regard vers elle quelque instant elle n'avait que se moyen pour se rasuré il lui fallait être sur que se n'était pas une manigance.

*Une manigance mais comment pourrait-il seulement savoir voyons ana... Qu'est-ce qui te porte à réfléchir ainsi le monde ne te connais même plus sous ton vrai visage comment pourait-il savoir c'est insencé recesie toi!*

L'envie de la connaître la surprit elle qui lui avait bien dit que de lui elle ne voulias rien et pourtant.

-Qui êtes-vous?

Son regard prenait malgrés elle la pronfdeur de l'océan elle le savait masi n'y pouvait rien c'était ainsi. Elle se détourna de peur de ne faire quelqu'autre incursion l'a ou il ne fallait pas.

Le rationnel de l'irrationnelle… le réel dans l'irréel. On pouvait le considérer nulle… ou absolue. Il n'avait jamais entendu ce nom, Métrix…C'était trop tard pour lui, elle allait le hanter jusqu'à tout connaître de son passé. Si son passé le fessait déjà pleurer par son absence il ne pourrait faire plus de sa venue. N'est ce pas ? Il restât encore muet attendant qu'elle ait finit de parler complètement. Il ne serais jamais le vampire qu'Alessandro aurait voulu être, ni insensible, ni froid, en fait… il ne serait jamais vampire en tout point… alors pourquoi continuer a vouloir l'être ? C'était pour l'instant la seule chose qui lui permettait de se définir.

* Troublé ? *

- ci c'est moi qui cause du trouble ne serais ce pas moi qui devrait m'en excuser ?

Son ton était léger, cette conversation semblait pour lui inutile… que dire d'autre ? Parler n'avait jamais été son talent. Ne lui avait-elle pas posé cette dernière question auparavant ? il aurait juré que si alors que lui avait-il répondu … c'était déjà floue… mais quel question ambiguë. Il n'en savait rien.

- Je ne sais pas sûrement personne ne le sais maintenant puisqu'il est trop tard pour demander. Prenez une grande inspiration et attendez. Nous verrons s'il en est de même pour vous.

Il avait se sourire amère. Que faire d'autre ? Elle le voulait tant.

-Vous excusez? Non je ne m'excusait pas de mon trouble mais de ma faiblesse je n'y est pas droit comme à l'erreur d'ailleur.

C'était sa seule vérité le droit et le devoir se confondait dans cette infinie de possible l'eurreur et la faiblesse n'étais-ce pas la même chose à la fois.

-Faite les maux de tête me connaisse déjà.

Elle se laissa tout bonnement transporté par ce qu'elle ne connaissais pas ce qui était sur c'est que maintenant elle n'avait plus le choix! Elle prit une grande respiration comme il lui avait sugéré de le faire. Elle n'émettait aucun résistance sinon elle le savait se serais pire.

Des images remontèrent doucement dans son esprit les une à la suite des autre des souvenir les siens celui de Inwë tout se mélangeait des millier de mots une symphonies de son étrangé il n'était pas tous heureux mais c'étais ceux d'un autre. Pas qu'elle n'eu aucune hampattie mais il y avait tellement en même temps elle ne retenais pas quelque chose en particulier elle se laissait allé avec cette marée étrange.

Des larmes coulaient à ses yeux cet fois c'étais ces souvenir douloureux que l'on observait mais il le fallaitplus après une éternité la sybiose stoppa pour laisser autour d'elle le décore des tunnel de xeng.

(je sais c'est dans le très court mais bon répond ce que tu peux ou appelle moi ok)

Il avait laissé ses verres traîner sur le sol, il n'en aurait pas besoin cette fois… alors qu'elle avait pris son inspiration, il tendit ses deux mains vers son visage. Et avant de sombrer dans des millier de pensée de souvenir confus et embrouillé elle pu sentir Inwë lui tenir délicatement la tête. Prenant un temps calculer il lui fit un sombre sourire tendis que ses yeux doré se fixait dans les siens.

Le monde n'existait pas ici. Rien n'existait ici sinon les pensées, les rêves et les souvenirs. C'était un monde noir, dont il détenait par pus hasard la clé. Un don de naissance… et ses yeux lui permettait d'explorer de fond en comble cette espace réserver a la nostalgie des humains... de toute créature vivante.

La réalité s'estompait pour laisser place à un monde noir qui accueillit ses nouveaux invités avec chaleur leur proposant un choix immense. Les pensées, les souvenir tout se bousculait pour voir ces visiteurs. Fessant fuir ses souvenirs, taire ses pensées il en vint a bout et ceux d'Anako devenait toujours plus claire…

La nostalgie était courte, et revenait la mémoire des deux des souvenirs sombres. Entre ses doigts il sentait coulé les larmes tant attendues. Tours a tours chaque souvenir vint se présenter jusqu'à ce qu'il n'en reste plus que deux… plus qu'un… et enfin plus aucun. Ce fut sa propre douleur qui le ramena à la réalité. Le moment qu'elle voulait tant passer c'était maintenant a lui de passer un joyeux instant accompagné d'une nouvelle détresse…

Ses mains encadrant toujours son doux visage il effaça les traces de ses larmes. Il aimait la faiblesse, devait-il l'avouer au monde ? Il aimait les sentiments, les émotions. Et les pleurs en démontraient une trop grande part pour qu'il ne puisse y succomber. Jaloux ? Peut-être… un jour il pourrait mieux élucider ce mystère. Cette fascination qu'exerçaient sur lui la détresse et les larmes. Par ce que les sourires était trop souvent faux il les détestaient, par ce que les rires sonnaient trop sauvent préparé il les haïssait. Au fond il aimait le vrai…

Pendant tout ce temps il restait penché sur elle. Fascinné… comme un monstre sans sentiments l'aurait été à la découverte des émotions.

Quel envie le tenaillait dont ? Il avait envie… c'est idiot… mais il avait envie de rester ici de l'embrasser sans raison. Pourquoi une tel pensée ? Ne valait-il mieux pas l'oublier…Une douleur atroce vint percer le doré de ses yeux, perçant la feuille d'or traversant les flammes jaunes pour leurs donner la couleur du métal rouillé. Si bien qu'il ne pouvait plus bouger. Ses membres le lui refusaient, sentant un haut le cœur l'emporter alors qu'un vague atroce venait crisper ses traits.

-c'est déjà finit…

( heu .. ça sa va ? désolé pour l'attente mais faut me rappeler XD )

Elle en était enfin sortit pour elle s'était un soulagement se tourbillon n'était pas pour elle. Oh non se ne sera pas pour tout de suite en tout les cas. Le saut qui l'avait ramené à la réalité avait été plutôt raide.

*Déjà fini non mais il est maso*

Elle se rendit compte a se moment du mal qui l'affligeait chaque fois fois qu'il devait utilisé se drôle de pouvoir elle souffraitg de l'avoir fait souffrir il était encore penché sur elle s'approcha doucement et l'embrassa sur la joue.

- Voilà votre malheur est finit il n'y a que ma curiosité qui sera punit mias je dois vous quitter pour regagner mon temple pour ne pas m'éfondrer pouririez vous m'y mené. Masi senté vous libre de refusé!

Le sommeil du malaise commencait troop rapidement à allourdir ses yeux il fallait faire vite pour ne pas tombé comme ça sur le sol froid sous les yeux du seule qui la connaisse plus qu'elle même.