Le Monde de Xâ
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| | Le centre du temple |  |
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| Auteur | Message |
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anako
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| | Sujet: Re: Le centre du temple Mer 17 Oct - 19:37 | |
| (Tu veux de l’action yur… bah t’avait qu’à demandé c’est assez simple pour moi de te donné se que tu souhaites)
L’avait-elle vu reconnue à son ironie? Sinon à sa caresse si froide? Elle sortait du cauchemar ou il l’avait plongé. Y songeait-il seulement? Mille fois, il avait visité le vent, mille contré et surement autant de peuple, de vie, de mort et tout le reste. Il avait vu. C’est monde il en devenait roi et maître dans d’autre pensé trop loin du moment mêm
C’était la lumière, celle de l’obscurité d’un regard de sang, mille fois plus chère que ce sang à elle, éternelle. Qu’il était se qu’il fut, un touché froid contraire à sa joue chaude de colère, d’angoisse, de regret, de fatigue de se monde sans lui et de lui ??? Pas le moindre amour. Qu’elle eu pu ressentir de la fatigue du si long voyage, des regrets, le vide de n’avoir pu changer ce qu’il était profondément : un vampire mais rien le vide.
Blessée ? Une femme sans sentiment serais blessée humilié de si peu. Un simple regard vide? Vide oui vide d’amour surtout. En manque de sang seulement? Même pas un petit manque d’elle, elle qui avait cru mourir plus de fois qu’il était possible de l’imaginé à chaque seconde. Elle était humilié d’y avoir cru plus encore au moment ou elle réalisait maintenant vraiment à quel point il lui avait manqué. Elle lui avait toujours promis de l’attendre.
Pauvre folle! Attendre, ne rien dire. Attendre et l’aimer. Ça la consumait, la tuait petit à petit. Si son monde n’était rien sans elle, elle n’était rien sans lui. Le vide béant l’agonie sans la fin. Sans cette délivrance douce. Elle aurait tant aimé, au moins le reflet d’une flamme qui disait qu’elle se trompait. Maintenant qu’elle le savait réelle si réellement là, encore il la faisait souffrir.
Elle n’était plus qu’à demi consciente de se qui l’entourait. Elle ne sentait plus la fin de ses forces approchées elle ne sentait plus que la colère forte sourde qui la tenaillait plus dur que la peur, plus douce que la joie, déchirante, enivrante, destructrice! Elle ne put retenir la main dans le vent l’espace qui gifla le si doux visage que plus d’une fois elle avait pourtant caressait celui-là même dont elle rêvait chaque nuit et tout le jour yeux grand ouvert. Elle sortait du cauchemar de l’avoir perdu pour plongé s’enfoncé dans un pire encore cette fois trop vif pour espérer s’en réveillé.
Elle passa à côté de lui dans sa course elle ne puis le regardé, elle ne put pas même le frôler, elle souffrait, elle découvrait la colère, la haine ce qui es plus difficile à comprendre c’est pourquoi cette haine n’était pas celle d’une déesse mais celle d’une femme et pourquoi encore cette haine n’était pas pour lui, mais pour elle!
-Salaud ... aaaaaaaaaaaarrrrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!
Un cri un seule et elle s'éloingnait....
*Peut-être s'éveillera-t-il lui... *
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| | | | Inwë
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| | Sujet: Re: Le centre du temple Jeu 18 Oct - 14:27 | |
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( naaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaann toi tu serais capable de me tuer XD j’suis pas me sentir petit et rejeté j’veux simplement du sang ! pfff T_T …. Néanmoins jolie poste… même si j’em retrouve seul en tant qeu tel … mais bon je suppose que je dois te retenir et me manger une petite dizaine d’autre coups… xD bon allez c’est partie.)
Et bien la voila, il la sentit avec une force inattendu retrouver son corps, et avec cette même rage qui lui procurait un regain d’énergie soudain le frapper sans retenu. A quoi s’attendre d’autre puisqu’il l’avait bien mérité, il aurait bien aimé sentir la douleur qu’elle souhait lui infliger mais elle était loin de l’atteindre, et de si reculé qu’il était il ne perçut qu’une lame chaude effleurer son blanc visage.
Peut-être se serait-il à son tour éveiller au lieu d’être si distant alors qu’il la revoyait depuis plus de 3 mois sans nouvelle à lui concéder… Mais comme a l’habitude d’un cœur si froid et d’une âme solitaire, son corps ne put que figer sans l’ombre de ses peines. Il entendit de loin comme de près résonner ses seules paroles, oui il l’était sans aucune doute ne le savait-elle pas déjà a sa rencontre ? Ne l’avait-elle pas dit a des lustres d’ici. Et comme autre fois il espérât qu’elle put entendre ses paroles et s’y calmer a la différence qu’aujourd’hui il avait mal à parler. Mal à bouger … et pourquoi pas a survivre ?
Il fit pris d’un étourdissement brutal, sûrement la seule manière que son esprit avait de lui dire de bouger, car il a voyait partir déjà. Elle ne devait pas le faire sans entendre au moins ses mots, ses excuses, et si le pardon lui prendrait du temps ne puisse t’elle qu’en faire l’effort pour le garder dans cette semblant de vie.
Il agrippa l’un de ses mains, non prêt de la laisser le quitter de si tôt que la nuit venait de commencer non pas sans que chaque étoile n’eut épuisé leurs lumière ou que la lune n’eut disparut. Il avait beau être fort Il avait beau être grand, il avait beau être si brillant, il n’était autre que chétif et ignare devant l’amour qui le rongeait de jour en jour. Qu’il aurait été bien si son être entier l’aurait accepté, mais lui semblait-il que jamais la bête qui l’habitait ne fléchirait devant un tel pouvoir.
- Attends…
Un Battement de cœur pour la retenir, un autre pour souhaiter son pardon et un dernier en ode à celle qu’il venait de perdre si stupidement. Et un silence s’en suivit, un vent froid retint son air alors qu’il fixait avec sincérité sa belle dans l’espoir qu’elle reste un moment de plus, toujours un peu plus…
- je n'ai jamais voulu te délaisser.
( j’suis vraiment rouillé ma parole >> )
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| | | | anako
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| | Sujet: Re: Le centre du temple Lun 22 Oct - 17:33 | |
| Attendre, oui, attendre c’est ce qu’elle avait fait, elle avait attendu, Attendu à en perdre espoir, à en perdre le souffle et la vie ou du moins elle aurait pu le croire. Son absence avait été trop longue, trop pénible si dur, si froide! Le froid de son corps n’était rien à comparé de celui du cœur d’Anako quand il manquait une nuit ou une journée auprès d’elle. Elle ne l’avait retenue c’est la pure vérité. Elle le ferait encore moins aujourd’hui! Mais, elle aurait voulu être une égoïste, ne penser qu’à elle ne plus jamais le laissé partir. Il revenait chaque fois plus perdu qu’à son départ. Il l’oubliait et laissait son cœur dans les contré qu’il visitait. Loin de Xâ loin d’elle.
- Lâche-moi!
Elle ne parlait pas, elle pleurait ses mots elle hurlait sans qu’on l’entende elle se débattait sans en avoir la force avec elle –même et avec lui. Plus jamais elle ne croiserait ses yeux à nouveau. Aurait-elle pu le faire après tant d’indifférence et de vide? C’était pire que les blessures de sa propre conscience. Ses yeux était sans amour La mort ne serait qu’une douce plénitude si elle l’avait pu. Seulement elle avait pu. Il ne la lâchait pas il ne bougeait pas.
- Tu M’AS DÉLAISSÉ Inwë tu es partit, PARTIT, laissé seule Métrixi aussi, seule… tu m’as laissé… je t’aime tu ne pouvais pas …
-
Il y avait plus de souffrance qu’elle était capable d’en exprimé dans tous ses mots, elle frappait le torse d’Inwë qui ne l’avait pas laissé partir. Elle frappait mais sans la conviction de pouvoir détruire. Elle n’aurait certainement pas la force d’en faire plus. Le noir absolue! Elle avait l’âme lourde, tellement de tristesse une goutte de trop une vague de désespoir de plus léchant se qui va céder. Elle n’avait même plus la force de relevé les bras pour continuer. Un simple geste si simple, elle était contrit, elle pleurait. Elle était égoïste et peut-être seule dans son amour de lui, elle pleurait
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| | | | Inwë
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| | Sujet: Re: Le centre du temple Lun 22 Oct - 18:30 | |
| Avec tout le pouvoir qu’il avait il ne sut se résoudre à la laisser si bien qu’elle criait contre lui si bien qu’elle pleurait. Et soudain le déclic se fit dans son être quand enfin il put la sentir contre lui. Aussi vivante qu’elle ne l’eut jamais été. Ses bras se refermaient sur elle avec la plus grande douceur et ses yeux sur une larme discrète. Comme sa chaleur lui avait manquer et son rire qui était devenu si lointain et vide de tout se temps si loin sans la voir, sans pouvoir ne serais qu’effleurer sa peau si douce ou son cœur si délicat, ses yeux si grand à la découverte de leur amour.
- Jamais de bonne fois je ne m’éloignerai de la vie qui me prodigue tant.
Alors Métrixi n’avait pu la soutenir il l’avait craint sans vouloir l’imaginer. Lentement les battements du coeur si faible d’Anako venait ressusciter les siens, de si loin qu’ils s’était perdu, ils avaient chercher éperdument a retrouver le moindre souvenir de cet union d’il n’y a pourtant pas si longtemps et de seconde en seconde ils retrouvait le rythme de l’amour qu’ils avaient laissé.
- mais je t’aime et n’ai jamais faillit à cet amour.
Il ouvrait ses yeux dorés et d’un revers de main comme l’habitude lui en prenait séchait les larmes froides qui s’en écoulaient sans retenu.
- tu ne devrais pas pleuré tu ne devrais jamais.
Alors seulement que ses pleurs se fessait moins insistant et qu’il eut chasser toutes celle qu’il eut put voir sur son visage retenant cette propre larme de sang qui tendait a tomber de ses yeux. Il n’avait ni droit a cette larme ni a la fatigue ou la peur, Un vampire en était démuni, un homme en était encerclé et l’amour en semblait parsemé. Mais jamais il n’abandonnerait pour la faciliter ce qu’il y avait gagné. Cette main si craintive qui avait éloigné ses larmes avait la plus grande délicatesse appuyait doucement sur son menton, la forçant a le regarder, A voir ses yeux si froid reprendre un peu de chaleur a la voir. | |
| | | | Metrixi
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| | Sujet: Re: Le centre du temple Mar 23 Oct - 17:08 | |
| Ce que c’était mignon de les revoir enfin ensemble, sa sœur venait de vivre sa première peine d’amour et ce n’était pas si terrible qu’il l’aurait imaginé. Il devait s’avouer que pendant un certain temps il avait douter du retour du vampire… heureusement il avait eu tort de s’en faire ainsi quoique … Anako ne le prit pas si bien que lui de le revoir en vie … façon de parler. N’avait-elle pas remarqué en dehors de sa colère et de sa haine naissante pour l’amour lui-même, qu’elle était heureuse de le revoir, quoiqu’il en soit Métrixi était joyeux de voir le jolie petit couple de Xâ se reformer après ces quelques mois d’hésitation et de Mystère.
Devait-il intervenir ou non ? A en voir la suite il devrait certainement les laissé seule mais pas instinct de protection envers sa sœur il préférait attendre encore un peu que tout soit réglé, le temps avait opéré et l’amour devait tout réparé mais en combien de temps et avec quel instruments ?
Il avait frôlé la cataplexie a l’entendre parler cette dernière semaine mais rien d’aussi inquiétant que cette rencontre avec l’ardente succube. Depuis belle lurette déjà il s’énervait pour un rien les symptômes certain que sa sœur ne devait pas se porter bien comment l’aurait-elle pu. Enfin un relâchement se fit sentir si léger qu’il soit a la seconde ou il prononça lui aussi ses mots qui de toute langue revenait a la même douceur : Je t’aime.
Il avait un bon pressentiment pour la suite, à espérer qu’il soit vrai il avait perdu un peu sur le côté des prédictions avec le temps et l’âge.
- sans vouloir vous déranger…
Il adoptait son ton de voix de plu crédible et son visage ne laissait place qu’a un sérieux de premier ordre.
- Pourquoi t’être éloigné si longtemps si tu aime tant ?
Quelques cheveux blanc volant sous un maigre vents et un regard perçant a l’endroit de cet homme qu’il ne savait qualifié ni d’être ni d’homme. Et de loin une caresse pour sa sœur détruite a cet instant. | |
| | | | anako
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| | Sujet: Re: Le centre du temple Mar 23 Oct - 19:51 | |
| Le souffle discret d’un être aimé n’était qu’un songe quelques fois. Un sourire étant bien plus que le soleil, qu’en était-il de leur mensonge ? Mensonge sans l’être peut-être, mais… cela l’attristait tellement. Mais, il y en avait un, mais, sinistre était-il! Inwë partit elle s’était retrouvé seule, elle avait pleuré dans ses bras à nouveau maintenant, et elle avait souffert une fois de plus. Elle savait de jour en jour que l’amour était une suite infernale, interminable de manque et de joie. Succession toujours sans limite de haut et de bas, elle apprenait se que sans doute tous ressentaient depuis le début. C’était ce mais, se mensonge qui la faisait souffrir. Le menton dans les mains de son amour elle ne pouvait plus détourner le regard. Il était comme dans ses souvenirs doux, tendre toujours un peu triste. C’était le sien toujours changeant, couleur de feu.
Elle se serait voulue rassurer, elle aurait voulu lui adresser le plus beau sourire. Elle en était incapable, il y avait une doucereuse flamme dans son estomac, qui voulait plus que des excuses. Elle n’aurait su dire se qu’elle voulait vraiment au font. Elle se voulait à nouveau vivante.
- Oui, Métrixi a raison, pourquoi es-tu parti…
La raison restait obscure pour elle. Il était parti pour trouvé, pour perdre, elle ne savait plus, tout se qui lui en était resté c’est l’inconsolable solitude. Au fond elle n’attendait pas de réponse et se n’était plus Inwë qu’elle regardait, mais son frère. Lui aussi était absent, trop absent. Pourquoi était-il parti? Pourquoi la voyant si triste n’était-il pas venu? Mille fois, pour lui, elle avait ouvert les bras. Elle se souvenait même les jours ou il pleurait sans vrai raison enfin aucune qu’elle n’avait comprise. Ella avait toujours été là! Lui? Avait-il seulement une raison de fuir la moitié de lui-même avait-il seulement une vraie raison de la fuir? De quoi était-elle coupable?
Aujourd’hui c’était surement de colère donc elle se rendait coupable! Ainsi on ne quittait pas ceux qu’on aime, ainsi lui aussi avait déserté Xâ, ce monde le dégouttait peut-être! Il n’aimait plus Xâ? Elle ne pouvait rien deviné sur lui que ses pensées peut-être juste assez pour savoir qu’il avait été là sans l’être. Il se montrait là. Là ? Oui au moment où tout s’arrangeait (enfin presque puisque se n’est pas tout à fait le cas avec Inwë) il était là à sermonné celui qui avait mené un cœur au bord du gouffre, mais n’était-il pas supposé être là pou la retenir à jamais?
-Tu parles bien fort, mon frère! Alors toi tu dois me haïr. Parce qu’en toute logique si l’on reste proche de ceux qu’on aime, On fuit se que l’on hait… Tu me hais? Quel autre raison avais-tu de me laisser seule avec le désespoir si se n’est celle-là?
Elle souleva son regard, encore une fois, vers la flamme douce du regard qui la hantait, elle se rassurait encore d’y voir un peu d’amour. Il n’était pas vide elle ne rêvait pas, elle n’était plus tout à fait vide non plus, la vie lui manquait encore par bride. Elle aurait besoin d’une nuit, d’un matin, d’une journée obscure avec lui. Elle ne voulait plus du commun soleil, comment en vouloir elle avait le sien qui venait de renaitre. Naissant, oui! Elle était craintive et chacune de ses pensées était encore traverser de doutes et d’incompréhension. Elle l’aimait toujours, elle lui en voulait toujours, elle le voulait là, elle le voulait près, plus près. Elle écoutait son égoïsme c’était aussi de ça dont elle doutait.
Métrixi tombait des nues. Il était là arrivant de nulle part. Il ne comprenait rien mais voyait tout. Il ne savait rien mais connaissait tout. Il jugeait, de quelque manière que se soit cet être, cette homme, s’en était un! qu’elle s’était prise au piège d’aimer farouchement, éperdument. Elle voyait une faille, une large faille dans se regard de frère, une faille dans un mur qu’elle ne se rappelait pas avoir déjà vu. Un mur autour du cœur si tendre autrefois. Aujourd’hui il l’était toujours, il l’était pour elle, pour lui aussi un peu. Mais il y avait comme dans le regard d’Inwë la souffrance. De toute la tendresse qu’il avait aucune n’était pour Inwë, il ne lui devait rien, il n’avait que peu de chose en commun omis elle. Métrixi, malgré toutes différences n’avait jamais une ce regard pour personne sinon Inwë.
Un regard pour l’un, un autre pour l’autre. Il était se qui était à ses yeux le cœur du monde, et voilà que les deux arrivait à la quitté sans le moindre remord? Elle retira son manteau, le sol le reçu comme un cadeau se long manteau blanc attaché au haut de son cou. Elle l’aimait tant ce manteau, il était à la fois l’inverse et l’attachement tout proche se celui d’Inwë qui était noir. Il gisait sur le sol, une partit en était rouge. Écarlate de sang. Une croix se dessinait au col du manteau, et sur le cou d’Anako. C’était là si on voulait le premier baiser d’une vie, celui de la mort cette croix était la morsure d’Inwë il y avait quelque temps. Elle était le départ.
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| | | | Inwë
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| | Sujet: Re: Le centre du temple Mer 24 Oct - 8:38 | |
| Pourquoi … C’était une bonne question auquel il se sentait si honteux de répondre. Mais il lui devait cette réponse. Ses yeux doré ne fessait déjà plus que rouillé a la seule image de ses pensées car l’histoire qu’il devait lui raconter ne démontrait rien de plus qu’un homme empli de naïveté et de secret. Il aurait mille fois préféré ne rien lui dire qu’en un regard elle puisse tout voir dans ses yeux et la souffrance qu’il en aurait serait
certainement moindre que celle de tout lui dire.
Il réfléchit à une réponse qui paraitrait moins sotte mais aucune ne lui vint et il s’expliquât en décrivant la vérité de ses gestes imbécile qu’il avait posés.
-Tu ne serais certainement pas plus fier de moi mais pourtant c’est en toute bonne volonté que tenter de suivre une rumeur. J’étais partit a la chasse mais un homme plus rusé qu’il n’y paraissait parvint en son affolement à s’écarter de ma prise en entraînant mes verres avec lui. Bien tôt une douleur s’emparât de moi mais la raison n’est pas la. De ses souvenirs trônaient ce que je pris pour une heureuse découverte, mais quelle méprise…
L’histoire
lui semblait soudain longue et dénué de sens à se rémunérer le prix de
ses efforts vains. Il tenta une dernière fois de remonter son regard
mais rien n’y fit le dégout lui brulait le ventre et la culpabilité le
rendait plus aveugle qu’il ne l’était déjà.
Tout
en vint au fait qu’une mixture des plus dégoutant mais des plus réel
peut par un miracle que j’eus crut impossible rendre vie a un
mort-vivant, tel que je le suis. J’ai eu tort je m’en doute. Ma quête
fut plus longue que je ne l’aurais cru et mon but de pouvoir sans
limite vivre sentir le vent comme la chaleur me fut arracher
cruellement. Tout fonctionnait très bien, l’espoir me vint pendant un
si cour instant que peut-être je pourrais vivre a vos côté sans crainte
de vous arracher la vie, sans devoir de nuit vous attendre de jour vous
renier. La fiole d’un noir ébène qui me fut donner au prix fort avait
un pouvoir temporaire mais réel, pendant un instant j’eu put être
vivant de nouveau et me laisser envahir de tant de sentiments que mon
cœur semblât éclater, mais il se stoppât rapidement. Des effets
secondaire n’était pas prévu dans mon horaire et mon retour fut plus
long et acharné parsemé du désespoir de mon échec que mon allé.
Puissiez-vous me pardonner sachant que j’en serai moi-même incapable.
Mon insouciance est resté tel qu’autrefois et ma naïveté m’a fait
défaut.
Défaut
qui pourrait d’un instant à l’autre lui couter plus que la vie mais
aussi la mort. Il aurait cru le vampire qu’il était impossible a
meurtrir d’un corps mort qu’il était déjà mais encore une fois il avait
tort. Il était toujours si froid qu’il lui avait toujours semblé ne
pourrait-elle le voir un jour autre que mort ? Blanc et sanglant comme
il se devait d’être par nature maintenant, sans sourire sans rire qui
ne put un jour la réconforter plus que ses yeux démuni de tendresse.
La
haine était son principale motif, le dégout de son âme envers lui-même
pour si peu qu’il était vampire, affamé de sang avec soif de cruauté,
être infidèle et froid, que seul le sang motivait sans aucun ... aucun
... sentiments… et pourtant il l’aimait mais ou était-il pour se perdre
ainsi en lui-même ni homme ni vampire ni rien ni être ni âme qui ne
sache se compléter. Que les ruines de ce qu’il avait été et qu’elle
n’avait jamais eu mais toujours espéré. Car jamais une femme si céleste
soit elle n’à jamais rêver d’aimer un homme mort.
Le
long de sa joue pâle et glaciale s’écoulait un enfer de sentiments
incompris que hurlaient un cœur dépouillé, une larme de sang qui
abreuvait sa peau ferme et sans vie le reflet certain de son âme en
peine. | |
| | | | Metrixi
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| | Sujet: Re: Le centre du temple Mer 24 Oct - 8:54 | |
| Quel histoire émouvante… pourtant Métrixi n’en fut pas moins adoucis c’était le timbre de voix monotone tout en étant ravageur de sa sœur qui le consternait. Certes ils ne s’étaient jamais réellement parlé ainsi mais le temps ou tout fonctionnait si bien était loin, en fait il revenait au moment ou Inwë était apparut par pur hasard. Et au moment où il avait disparu il y a de cela des années … mais cette fois il n’avait aucune bonne raison à lui donner, aucune qu’il en veut en toute foi lui donner du moins.
Mais jamais il n’avait put l’haïr, sa sœur n’y connaissait rien elle ne pouvait pas voir ses yeux ne suffisait pas, il fallait plus et lui ne dirait rien. Etes-ce la rage ou la tristesse qui le força a répondre sans même penser a ses mots auparavant ?
-Je te t’ai jamais détesté ma sœur tu me connais comme le frère le plus aimant. Mes raisons te sont inconnus mais jamais je ne t’ai quitté depuis mon retour toujours j’étais présent et si je fuis ton regard c’est pour bien autre. Je ne pouvais te réconforter, je ne le puis toujours, qui le fera ?
Oui Mortel … un être céleste les pouvoir maintenant presque inexistant comparé a ces belles années de sa jeunesse démuni … oh combien vieux et salis du temps. Mais il l’aimait, ne l’avait t’il jamais dit ? Oh comme je t’aime ma sœur, ma sœur … Tu me manques, tu me manque du temps ou nous étions seuls à survivre et à s’aimer. Ne suis-je rien a ses côté car tu le préfère a moi je le sais …
( petit dsl j,dois quitter j,suis en cours d,info a ce soir YURI ! ^^ ! ) | |
| | | | anako
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| | Sujet: Re: Le centre du temple Sam 1 Mar - 10:46 | |
| La stupidité les étranglais autant l'un que l'autre. Ils étaient devenu con ou quoi ??? Mais quel était leur réflexion pour ainsi en arriver a croire ne fus que qu'un seul instant que leur absence lui était préférable a leur présence même difficile. Elle se croyait par moment seul au monde avec comme seul conscience la sienne. Celle-là même qui lui jouait des tour modifiait ses souvenirs jouait sans cesse avec son coeur et son âme pour a tout moment les lui faire recracher. L'horreur c'était les jours et les nuit qui passait sans les avoir reconnu par les images même troubles.
- Inwë mais comment a tu pu ? ainsi choisir pour moi ce que je devait aimer chez toi? Ma vie avec toi pourrait être la nuit pour l'éternité. Et le soleil n'est que fade s'il n'y a pas le reflet de tes yeux en écho quelque part derrière tes paupière ... Mon amour mais que t'as tu fais? Et toi mon frère tu ne me hais, mais tu reste loin de moi a tout instant, tu es ce que je ne suis pas, loin je ne suis que les mot du monde sans la prose. n'est-ce pas la d'ailleurs tes mots?
Elle n'était que plus perdu encore en leur mot, leur justification était vaine pour lui faire entendre que leurs absences étaient justifiées. Inwë n'avait pas compris qu'elle l'aimait ainsi, elle l'aimais Inwë, sans jamais demandé qu'il soi autrement. Elle aurait pu comprendre qu'il est besoin une nouvelle fois de soleil, elle eu pu comprendre qu'il ne pouvait plus se restreindre au gout du sang mais qu'il le fasse pour elle lui était incompréhensible.
Et si son frère avait été là comme il lui prétendait resté cacher alors qu'elle souffrait, en restait-il autant un frère. Un homme sur qui elle pouvait compté comme sur une partie d'elle-même? Il avait été lâche. Il avait abandonné tout en la regardant souffrir de loin?
Très bien il en fut ainsi ... ils étaient là. Ils étaient là ...
Est-ce pardonné la seule option encore possible à son coeur à qui elle avait défendu la haine? probablement. Du coup il battait moins vite dans sa poitrine. Elle souffla et baissa les yeux. | |
| | | | Inwë
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| | Sujet: Re: Le centre du temple Jeu 13 Mar - 18:41 | |
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Souffrir a en mourir voila son chatiment, que se soit d'amour ou de cette triste maladie rien n'y fera il finira très certainement par s'assoupir sans ne plus jamais s'y réveiller alors pourquoi perdre le temps qu'il n'avait pas. Il était désolé, il avait pourtant imaginer des jours plus beau des jours ou ils ne seraient pas éclairé d'un fin rayon de lune mais avec force des rayon du soleil. Quoi qu'elle en dise elle l'aurait voulu aussi. Personne ne pouvait rever de devenir vampire de se terrer et ne vivre que de nuit. Elle était un soleil d'automne quoi qu'elle en dise. Un soleil brillant et chaud au crépuscule qu'il camouflait dans la nuit. Il avait de sincère regret pour ce qu'il avait fait mais aucun pour le but qu'il souhait atteindre.
Inwe ne discernait plus très bien que se soti mal de coeur ou de ventre, amour et tristesse qui s'entresuivait il contenait pourtant la rage de cette souffrance qui l'entaillait lentement. Il était loin son dernier baiser, loin la dernière nuti a ses côtés, loin tout simplement la dernière fois qu'il avait pu la toucher. Si loin, qu'elle le prenne en pitié il n'était qu'un homme affaibli il l'avouait, mais il avait besoin de cette vie qu'elel lui avait prise de tout cet amour dont il était en manque.
- Pardonne-moi, susurra t-il tout bas.
Pardonne moi toute ces fautes commises mais n'oublie pas, rapelle moi chaque jour s'il le faut comment j'ai pu te faire souffrir et je supporterais le fardeau que j'ai a porter mais ne m'abandonne pas comme j'ai pu lachement le faire car j'en mourrais mille fois de peur et de mal le manque d'amour m'achevera. Cette larme rouge qui silencieuse éfillochait des lanmbeau de peau blème s'était poser sur la joue d'anako, il lui volerais ce baiser qu'il attendait chaque nuit. Peut-être le repousserait-elle... surement... il ne savait plus mais il n'avait pas tort d'essayer.
Un fil d'ébène qui caresse sa joue, un souffle tiède contre sa peau, et ses lèvres n'étaient qu'a ce fil d'effleurer les siennes. Reconnaissait-elle ce coeur qui bat si fort même dans la mort ? il lui appartenait depuis si longtemps, qu'a sa vue il reprenait vie et envie. Ne pouvait-elle entendre le bruit sourd qu'il entamait, le cri d'amour et la danse douloureuse au centre de sa poitrine. Il offrirait la lune, le monde, la vie serait un présent qu'il lui donnerait volontier. La vie... dans un souffle, dans un cri, dans une larme.
Il était vain de se battre si elle ne voulait plus de lui, le desespoir se perchait sur le reflet brillant de ses yeux mi-clos. Du bout des doigts il effleurait un cheveux, une oreille, une joue rougis de ses pleurs, il caressait du satin avec la même prudence qu'il aurait effleurer les ailes d'un ange.
- J'avais besoin de vie, sans comprendre qu'elle n'existait pas loin de toi.
Pardonne moi, parce que je t'aime, j'aurais voulu t'offrir plus mais je n'ai pas su me montrer assez fort. Et si tu ne me pardonne pas, promet moi la mort lente qui m'était destiné.
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| | | | Metrixi
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| | Sujet: Re: Le centre du temple Dim 23 Mar - 19:29 | |
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Oui sans lui elle n'était rien et plus encore sans elle il n'était rien. Mais il était arrivé, cet homme qui avait tout changé, qui avait pris sa place et plus encore qui le rendait inexistant parce qu'il savait rendre sa soeur plus heureuse que lui ne l'avait jamais fait. Rien n'y changerais car si elle devait choisir nul doute qu'elle le choisirais. Mais lui il n'avait qu'elle, il n'avait d'autre raison de vivre que de souhaiter et de faire le bonheur de sa bien aimé soeur. Alors que faire, il n'osait s'approcher ni trop s'éloigner et il était perdu dans ce monde qui n'était plus sien. Il ne reconnassait plus les lieux ou il allait, les nuit froides qui arpentait les paysages qui l'entourait. Et il lui semblait peu a peu étirer le lien si fort qu'il avait avec Anako, l'étirer au point qu'un jour il devienne si mince qu'un souffle pourrait le briser. Certainement celui d'Inwë.
Il détournat le regard comme il avait apprit de ces dernières années. il n'avait plus d'honneur à fuir celle qu'il avait toujours aimé mais il n'en avait pas plus a oser lui dire qu'il se sentait blessé et jaloux. Sa main se ressera l'espace d'une seconde empli de la force de l'homme jaloux, de la colère de l'amour perdu, du désespoir du frère esseulé, de la tristesse de la vérité camouflé mais elle perdit vite de sa puissance car il n'avait plus cette force de la protéger contre tout les dangers alors que lui l'avait. C'est aussi pourquoi il reculait comem ce dernier avancait.
C'est dans l'échos de sa voix qu'il prononcait ses mots comme l'ombre de cette ombre.
- Pardonne-moi. dans un souffle si bas, il heurtait un regard blanc a la pierre du pavé, au froid de l'hiver glacé dans lequel il avait perdu toute humanité.
- mais j'ai perdu ce qui m'étais chère, sans elle je suis perdu, sans elle je ne sais plus, sans elle je me perds je ne suis plus.
je ne suis plus que l'ombre du grand poète que j'ai été, que le reflet tremblant de cet homme fort et grand, la réplique imparfaite de la vigueur et la passion qui m'habitait.
Toi tu rayonne ma soeur, c'est ton heure.
Je ne gacherais pas ton moment, car tu vis toujours plus fort chaque instant.
il est loin le temps de mon vivant, l'heure du blanc firmament
Moi je sombre ma gloire s'assombrie, les élans d'espoir et de victoire tourne soudain au gris.
Je n'ai plus l'honneur d'une lointaine vie, mais je me tourne vers toi de jour, de nuit.
Ton coeur éclate de couleur, des joies noires, des larmes roses, encore des pleurs.
Il a la nuit a t'offrir, il l'a rempli de tendre souvenirs
De rouges baisser, de flammes pasionnés, d'une épaule d'un coeur ou pleurer.
Il a le pouvoir de te proteger, chose qui m'a échapper
Il a le pouvoir de t'aimer, plus que je puis imaginer
Il a le pouvoir de te rendre heureuse, plus que moi qui en ait pourtant fais ma prière et ma berceuse
Un pas vers l'arrière, il s'éloignait d'elle, un pas lent et douloureux qui lui était couteux.
- je suis désolé ma soeur mais je crois que ce n'es pas l'heure pour cette discution, c'est un poème trop long qui demande des jours des nuits d'écoutes, et celle-ci n'en fait pas parti, tu n'as pas sentit l'effluve qui passe, elle est douce langoureuse, c'est l'odeur du premier soir, d'un unique baiser, de retrouvaille tant attendu. On reprend le fil de l'histoire qui c'est perdu, la ou l'amour n'a jamais fait qu'attendre moi aussi j'attendrais.
un froissement leger seul bruit dans l'air, un aurevoir silencieux dans le bruit de cette nuit empli s'espoir et de frissons. Il le savait il avait raison, elle avait pour elle deux hommes dans sa vie, l'un pour l'amour , l'autre pour l'amitié mais les deux ne pouvait se cotoyer, ainsi il prendrait le dessus et il attendrait l'heure ou elle viendrait le chercher l'heure ou elle demanderait son nom plutôt que le sien. L'heure des amoureux c'est la nuit blanche, la nuit fraiche qui s'éveille au sens, c'est la lune sans lumière, le reflet d'un soleil consumé de passion, dévoré et rongé par l'attente d'aimer.
- je t'aime ma soeur...à bientôt...
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| | | | anako
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| | Sujet: Re: Le centre du temple Mer 2 Avr - 20:21 | |
| -Toi,
Elle le pointa du doigt et sur son visage se peignait la plus grande indifférence. Elle ne disait pas d'autres mots même au fond d'elle-même Un vide glaciale de l'extérieur.
- Tu viens avec moi!
Elle se sentait dérangeante dans son attitude et l'était probablement mais là était bien aussi le but de tout cela déranger parce que cette fois les excuse même sincère ne suffirais pas à lui faire oublier qu'il avait disparu pendant trop de temps, vraiment trop de temps. Regrettera-t-il ??? tout dépendra s'il la suis sans rechigner ou pas ... | |
| | | | Inwë
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| | Sujet: Re: Le centre du temple Mer 2 Avr - 20:33 | |
| Sa voix lui semblait empreinte de trop de venin de glace, l'amour l'aurais fait fondre mais elle n'en semblait pas atteinte. Peut-être avait-il mal jugé, elle l'avait attendu elel avait commencé a l'Haïr pendant ce temps de solitude maintenant elle ne voyait plus en lui qu'un vampire avare de vie de sang de désir ou de tromperie ... Mais sans rechigner sentant le sang palpiter tout pres de l'organe vital qu'était son coeur il se résignat a la suivre, qu'aurait-il fait d'autre ? Cette fois il serait docile...
- Je te suis ou que tu aille....
Et ses yeux brillait de cette passion brissé d'une volonté a n'en plus trouvé. Ou qu'il aille il ne serait nul part ailleur mieux qu'a son côté quoi qu'elle dise quoi qu'elle fase qu'elle l'ignore ou qu'elle l'embrasse, la vie a son côté il se l'était promis depuis longtemps, la mort allait a l'oubli. | |
| | | | anako
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| | Sujet: Re: Le centre du temple Mer 2 Avr - 20:37 | |
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