glace 2

Elle n'entra même pas dans le jardin laissant le soin au fleur de laisser le message de sa venue dans le jardins. Elle était prête à attendre là pour l'éternité s'il le fallait pour un seule mot de sa part un seul qu'il fut amer ou tendre... Un seul mot rien de plus certain vous diront que c'était cher payer... qu'importe elle l'avait fait souffrir au dela d'aucune limite elle payerait n'épargnant ni sa vie ni monde elle n'avait pas réellement voulu... Mais se n'était pas une excuse elle ne s'en trouverait pas elle n'en voulait elle recueillait tout le blâme...

Au moment ou elle n'entendit plus que le bruit des oiseaux certaine de n'y plus voir Inwë elle entra dans le jardin se recueillir à l'endroit ou elle l'avait su pour la dernière fois... Elle ne le suivrait plus, elle ne le poursuivrait aucunement. Il ni avait rien à comprendre elle le laissait la haïr sans pourtant changer c'est sentiment pour lui elle n'y trouvait qu'une mince consolation Il éprouverais au moin un sentiment pour elle certe désagréable néanmoins elle s'y raccrochait...

Elle n'entendait personne... Mais il y était toujours trop tard pour retourné sur ses pas il l'avait vue elle aurait pourtant voulu se dérober loin, elle le ferais souffrir à la voir la devant lui elle se sentait plus fautive encore mais elle ne l'avait pas entendu et elle était devant lui....

L’ombre devant elle avait rapidement disparut, un fantôme peut-être ce n’était pas fou de le croire quand on remarquait a peine le tracé brumeux de sont souffle, repartant si vite qu’on ne l’eut vu. En fait il n’était ni d’humeur a parler a elle ni a qui que se soit. La seule envie qui lui traversait l’esprit ... non … en faite il n’y en avait aucune. Il n’avait envie de rien… de solitude… et peut-être d’Alessandro pour le guider.

Se profilait alors une silhouette semblable, plus petite légèrement. Elle fut seule à oser parler et briser la sérénité pourtant lourde du jardin. Ce n’était pas un véritable sourire de joie qui illuminait ses traits fins, mais plutôt ceux d’un encouragement.

- J’ai sentit un léger coup de froid… Tu devrais attendre. D’ici un ou deux jours il sera en mesure de te parler.

Une estimation qu’il croyait juste. Métrixi avait ainsi le don de se trouver toujours a l’endroit propice, au bon moment, ou alors au mauvais…L’homme qu’elle aimait tant tout deux le savait très bien maintenant cachait trop de sentiments, impossible pour sa sœur de s’expliquer le moins du monde quand il ferait sourde oreille dans une présence sombre et peiné.

- Serait-il trop demander sil te plait ma sœur de m’expliquer ?

La situation lui échappait il n’en savait que très peu, mais sous les yeux brillant de rage contenue que lui adressait la dangereuse créature vivant de l’obscurité et du sang, il n’avait oser poser la question…

Elle avançait fixant le vide elle n’avait pas voulu le rencontrer elle voulait seulement un peu de réconfort, des bras pour sécher les larmes qu’elle n’arrivait pas à versé elle le savait trop blesser pour la voir pour l’entendre bien qu’elle ne soufflerais pas accusant tout injure et les traduisant en plus simple trahison elle l’avait mériter c’était les seul mot qui lui venait elle agissait comme lui refusant de parler refusant d’y croire peut-être mais laissant durcir son cœur qui avait geler à la brise du vent qui c’était enfuit

-Se ne sera pas deux jour mon frère se ne sera pas deux jour…

Elle ne pouvait dire autre chose la voix monocorde quel avait prit semblait tuer de elle-même trop d’espoirs à elle seul. Elle n’aurais plus à l’attendre désormais il ne viendrait plus. Elle n’entendrait plus jamais ses mot pas plus qu’elle verrais l’un de ses rare sourire et elle le méritait elle n’essayais pas de se cacher derrière autre chose elle ne le méritait même pas. À l’instar de celui qu’elle avait encore le culot d’appeler son amour elle se détruisait de l’intérieur préférant les larmes de sang froides à celle qui lave l’âme à grandes eaux

-Je croit bien qu’il serait effectivement trop demander, je suis fatiguer et je n’est plus envie de dire quoi que se soit j’était venue ici pour être seul je me suis tromper je ferais bien de partir moi aussi.

Elle ne mit pas paroles en acte ne faisant même pas demi tour pour entamer son geste elle restait de glace partit les fleurs les oiseaux entre ciel et terre quelque part ou elle se faisait souffrir justement et impitoyablement pour les fautes qu’elle avait commises elle n’avait pas même droit à son propre pardonner mourrant de honte et de peine.

Les seconde s’égrainait infaillible indéfectible à sa logique qui n’y était pas.

Ainsi il devrais trouver lui-même… ce qui n’était pas conseiller vu ses méthodes peu discrète, mais puisque sa sœur était tout aussi traumatisé qu’Inwë… il renonçait a une réponse. Mais ce qu’elle lui avait dit en retour l’exaspérait légèrement, l’intriguait en fait. Sa sœur croyait-elle dont qu’il ne reviendrait jamais ? Quoi qu’elle ait put faire il existait encore un lien entre la déesse et le vampire, qui ne pourrait se couper.

- si tu le crois c’est que tu n’a pas vu encore les braise qui parsemait ses yeux. Ce n’est peut-être pas un feu, mais c’est toujours assez pour en faire des étincelles.

Pendant un instant il eut peur que sa sœur ne laisse mourir elle-même la flamme qui brillait dans ses yeux, les siens, sans y faire la moindre attention, Aussi il l’entourait de ses bras pour un semblant de chaleur qui ne lui parvenait pas. D’ici deux jours, il le savait, il serait revenu, il n’en doutait pas. Mais d’ici là sa sœur avec peur, impossible de ne pas le sentir, et impossible de retenir le filet argenté que constituait son espoir qui la quittait sans autre raison.

- Tu es certaine ? si tu le souhaites je peux te raccompagner…

La statue de pierre dont elle fessait office au milieu du jardin lui fessait a lui-même peur. Une crainte grandissante dont le couple fessait objet. Il avait peur de la voir tomber au premier pas qu’elle ferait pour disparaître dans l’obscurité. Tout ne fessait que commencer et il espérait déjà que tout finisse. Le temps s’amusait avec lui, des siècles des millénaire jusqu'à en allonger les seconde interminable a fixer le visage anéanti par l’angoisse d’Anako.

Elle avait l’impression de traverse un étrange hivers en cette saison tout changeait et se laissait mourir et de bonne grâce mais à la différence et elle en avait eu la confirmation avec se jardin qu’après tout hiver un printemps arrivait avec toute ses renaissance.

Elle devait avouer que son frère n’avait pas tord elle aurais sûrement disparu après quelque pas elle ne pouvait aller nulle part le seul monde qu’elle connais était celui avec Inwë sans lui elle était perdu et hagard et ses pas ne pouvait la mené nulle part…

-Je n’ai pas pu la voir… Il m’est interdit de poser les yeux sur lui et tu sais depuis longtemps que ça me fait souffrir autant que lui peut-être plus je ne peux rien deviner et je me l’interdit de peur de ne voir qu’une souffrance qui me détruirais…

Elle ne bougeait pas pourtant elle était lasse plus il passait plus le temps augmentais cette colère qu’elle nourrissait contre elle-même et bien que de l’extérieur se n’était se que l’on discernait elle sentait défaillir la part d’elle-même qui espérait.

-Me raccompagner? Oui mais où? Aussi bien rester ici dans se jardin je dormirais par mis les étoiles sera aussi bien.

Elle leva les yeux au ciel il n’avait pas les couleur étrange mais elle y voyais du sang le sang que ses propre yeux versait amère… (figure de style)

Il ne pouvait contrer ses parole, lui dire qu’il n’y avait aucune souffrance dans ses yeux ni même de triste reflets de larme rouge, mais ce n’était pas son âme entière qui se mettait a pleurer, il y avait toujours, si loin soit-elle un autre instincts, logique et illogique qui proposait ses choix. La fuite l’acceptation, et le regret en fessait partit, tendis qu’Anako sombrait dans le dernier au point d’en perdre tout autre sens, Inwë devait sûrement se morfondre a part égale entre les deux premier. Trop de regret sûrement car elle finissait toujours par se consumer elle-même et se blesser. Une triste réalité pour tous. Et même si le vampire le devinait sûrement il lui était impossible en ce moment de lui pardonner.

- et bien sache qu’elles existent toujours, ne te laisse pas perdre ta foi si facilement pour la remplacer par un regret sans bornes il n’en servirais rien, sinon a tuer en partie ce que tu es.

Il se creusait si bien les méninges pour trouver une phrase qui eut put être réel et l’aider, sans savoir véritablement ce qu’elle eut fait, car il lui semblait bien que c’était elle… sinon pourquoi la verrait-il se perdre dans des méandre de pleurs douloureux et d’espoir anéantis. Ces étoiles d’ailleurs se laissaient fondre dans le ciel, la lune bien évidente étendait quelques derniers rayons. Avant de laisser place au soleil que cachait bien le dense feuillage qui les entourait.

- si tu y tiens mais je reste avec toi.

Et puisqu’elle ne daignait toujours pas bouger se fut son frère qui la tira jusqu’au banc, l’idée de dormir lui semblait bien loin dans ses pensées, toujours trop attaché a sa sœur il partageait en grande partie ses sentiments qui le laissait peu enclin a sommeiller quand a lui. Suivant son regard il finit lui-même par s’éterniser sur les couleur violacé du ciel sans nuage.

- C’est par ce qu’il te manque ton jardin, un endroit a toi que tu passes ta vie ainsi à t’attacher au gens. Ce n’est pas mal… mais tu néglige légèrement de penser a toi.

Autrement elle ne passerait pas l’aurore en compagnie de son frère avec l’idée saugrenue de dormir dans un jardin, avec pour seule excuse, le désir de regarder les étoiles.

- mais quel idiot je ne t’aide pas à dormir.

Apposant un court baisser sur son front il ne dit plus un mot, profitant des dernier instant calme que leurs offrait la nuit.

avant même d’avoir vue c’est yeux elle savait qu’il ne pouvait que dire vrai au fils de ses pensée elle entrevoyait un espoir mais si incroyable qu’elle le croyait faux et désuet il se sera tromper avec un des reflet de la lune…

-Tu as raison mais il était si vaste se jardins après que tu ne soit partit que je me suis restreint pour ne pas me perdre et le temps est si court quelque fois je n’est pas eu le loisir de reconstruire quoi que se soit… Et puis c’est un peu ca l’amour tout partager non !

Elle posa la tête sur l’épaule de son frère qui s’y prêtait bien le ciel lui-même avait cristalliser ses larmes en millier de ses petite billes brillantes au confins de se ciel ouvert sur des millions d’autres les heures passait lentement pour ne pas dire à toute vitesse elle disparaissait se petit infinité dans le ciel le jour se levait et les dernier force d’Anako

Au souffle du vent elle s’endormit emporter par une marée trop grande peut-être pour cette réalité qu’elle se savait mal supporter toujours au côté de son frère qui ne soufflait mot elle l’en remerciait tout bas… Pas qu’il n’aurait pas su dire les bons mots… Mais elle n’aurait su les entendre…

Un dernier soupir et elle s’enfui dans le pays des rêves doucereux qui n’était que le reflet de sa réalité et qui elle l’espérait serait moins ardu que celle-ci celle quel vivait dans se jardin

Ne douleur trahissait ses gestes, une douleur si grande qu’elle était palpable a des kilomètres de lui. Qu’on pouvait la sentir comme l’odeur du sang qui tachait ses vêtements, celle de ses victimes, comme le sien. La rapière en guise de canne l’aidait à marcher, provoquant un bruit infernal en martelant le sol, Il ne l’avait pas utilisé, la lame vierge de tout sang restait intacte en toute sa splendeur. Le profond minuit avait été depuis longtemps dépassé. La noirceur envahissait pourtant toujours les environs. Une lune quelques étoiles sans importance, et de vague nuage cette fois. Mais aucune pluie, pourquoi ? Par ce qu’il aurait aimé, aimé pour une fois ne pas être seul a ressentir ses propre sentiments, a être triste, achevé par la douleur inconcevable des mots, du sang, de la mélancolie. A l’entré du jardin la lame argenté se mit a crisser, glissant sur le pavé, dans de pâle étincelle, Et Inwë se retrouvât rapidement sur le sol, il était froid… cette idée était la seule lui traversant l’esprit. Pourquoi le sol était-il si froid? Si glacé de nuit ? Les vampires était-il ainsi fait pour lui ressembler ? Froid et dur…

Il sombrât dans un sommeil noir avant de trouver une réponse, ou alors il s’évanouit… quoi qu’il en soit il n’avait plus l’accès a ses pensée ni a sa tête.

Un son lointain attira l’attention général y compris celle d’Anako un bruit de métal râpant le sol de pierre son criard crissant comme des ongle sur un tableau noir le son se rapprochait de plus en plus et Anako était inquiète.

Quand elle vu Inwë son premier réflexe fut de s’élancer vers lui il lui avait pardonner et il lui revenait comme son frère le lui avait dit…Mais les deux jours avais raccourcit et l’état de son amour était lamentable il lui était arriver malheur… Il ne venait pas pour elle, elle serais un trop grand malheur. Elle ne savait comment réagir à cette situation elle approcha Il était tomber sur le sol encore si fragile revenant des dernière geler il n’était plus qu’un corps sans conscience sur le pavé de pierre

Elle ne pouvait le soulever encore moins Métrixi qui n’est pas très loin mais qui pour le moment n’as pas les force requise. Elle appuya son main dans son dos elle n’avait que pur amour pour remplacer sa pur logique quand venait Inwë à son regard il était face contre terre…cette terre pleine de vie elle pourrait bien partager se qu’elle avait pour une fois surtout au point critique ou il était…

D’un souffle plus grand qu’elle-même chaque parcelle d’énergie passant par elle pour ensuite entrer en Inwë elle aurais pu tout simplement la diriger vers lui mais le choc aurait été dur à supporter elle le supporterais pour lui elle le lui devait. Il aurait autant sinon plus encore…

-Inwë réveille toi le sol est béni de t’avoir rencontrer mais je croit qu’il est trop froid pour que tu y séjourne plus longtemps

Elle remuait à pleine les lèvres et le son de sa voix presque silencieuse a cause de l’étau autour de sa gorge elle voulait seulement qu’il se lève lui expliquer ou s’il en était incapables elle le laisserais seule avec Métrixi mais il fallait savoir se qui s’était passer..

Peut-être valait il mieux alors rester endormie, ou plutôt évanouie, mais il lui était impossible. L’heure simple qu’il passât dans la noirceur de ses pensées fut d’une aide scrupuleuse. Entremêlant le vrai du faux, et le faux au vrai… si bien qu’il commençait a y croire. Peut-être dans un lointain passé l’eut-elle vraiment aimé… il n’en savait rien. Il ne lui avait jamais demandé pourtant il se souvenait très bien de cette soirée ou elle avait décidé de l’avoir. Avec ou sans consentement de sa part. Mais il ne savait plus… l’avait-elle réellement violé ou non ? Voila que sa haine chancelait pour l’ignorance.

Suivant chaque idée nostalgique qu’elle avait put lui inculquer en quelques minutes Retournait cette haine profonde vers Alessandro, mais pourquoi ? Il lui était impossible de l’avoir tué… non il ne pouvait pas. Il avait aimé Alessandro et en retour son maître avait fait de même. Toujours… alors pourquoi l’avoir tué ? Cette idées était encré a sa tête solidement, la plus grande torture qu’elle eut put lui infliger fut celle-ci car il se mit fermement a croire qu’il avait assassiner son ancien amour. Qu’il l’avait lui-même trompé pour Rayanna. Et cette folie venait le hanter. Si bien qu’il revoyait en boucle les images qu’elle lui avait donner comme un film dramatique qui n’aurait jamais cessé d’être dans se tête.

La scène suivante n’en fut que plus douloureuse, renforçant les deux dernières ou il ne voyait plus qu’un monde sanguinaire de tromperie et de triangle amoureux.

- non…

Quand il répété ce même non il repris une légère force se retournant sur le sol avec difficulté il aperçu alors le visage d’Anako se rappelant peu sa voie. Seulement le bruit déchirant d’Alessandro quand il l’eut tuer seulement les soupirs désireux qu’elle eut poussé, il n’en savait plus rien, sa vision se troublait peu a peu de vision amère qui n’avait d’autre but réel que le tuer intérieurement. Se prenant la tête a deux mains il tentât si bien que mal de se dégager de ramper si faible qu’il était. Se souciant alors peu de ce a quoi il pouvait ressembler, sûrement une image pittoresque quand chancelant il tentât de se lever refusant de regarder Anako. La douleur était tout aussi profonde, mais les idées noires étaient encore plus nombreuses.

Peu a peu le sol se tachait de sang, par goutte il venait a le laisser envahir par quelques larme dérisoire et peu nombreuse que laissait discrètement partir Inwë, jamais il n’eut été aussi faible, aussi abandonné dans son âme que maintenant. Il se retrouvait dans le passé qui ne c’était jamais produit, dans une version qui ne cessait de changer. Voila qu’il détestait chacun d’entre eux, et que la seconde suivant il les adorait a en mourir. Qu’une rage le forçait a tué cet amour fidèle qui l’eut protégé contre les querelles de Rayanna, si faible… qu’il ne savait plus… qu’il était complètement perdu, s’affaissant a nouveau sur le sol.

- non … Tu n’as… rien fait ? je sais… je crois… mais… Elle…

Les mots ne se suivaient plus, les phrases étaient incohérentes mais il lui était impossible de les ajuster en fonction.