glace 2

Tout se qu’il disait était incompréhensible que c’était-il passer il n’avait pas prit toute cette histoire au point de devenir fou qui avait-il croiser il ne devait pas y avoir tant de chose qui puisse le faire souffrir à se point…

-Aller doucement Inwë je ne bouge pas je ne part pas. Il n’y a que nous deux laisse passer je ne sais pas se que tu dit prend le temps qu’il faut mais explique moi se qui se passe…

Elle ne pouvait savoir s’il comprenait vraiment se qu’elle disait tellement ses tremblement et ses geste était décousus et sans aucun sens elle le prit dans ses bras elle n’avait que sa propre chaleur pour le réconforter ne comprenant rien que pouvait-elle faire d’autre si se n’est que d’essayer de le soulager.

Il pouvait lui en vouloir la menacer la tuer à la limite maintenant plus que jamais elle savait qu’elle ne pourrais cessait un jour de l’aimer le temps passerais il comprendrait ou ne comprendrait pas mais peu importe elle serais toujours la plus ou moins loin son cœur se tordrait à voir la douleur de celui qu’elle aimait mais elle serait forte pour lui pour eu n’acceptant pas l’échec de leur amour…

-Chut… doucement il n’y a rien qui presse nous somme en sécurité tu es en sécurité rien ne nous atteindra ici.

Elle le retenait lui et ses membres l’empêchant de se faire du mal il n’était que trop conscient de se qui se passait dans sa tête. Elle n’aurais su dire si il en sortirait mais elle continuait de lui parler doucement lui répétant qu’elle ne le quitterais pas qu’il n’y avait aucun danger que quoi qui est pu arriver jamais elle ne le laisserais… Elle ressentait à chaque mot la douleur cinglante qui resserrait leur cœur qui battait à l’unisson. Mais cette douleur elle se l’infligerait à jamais si elle le devait…

- Il ni a que nous deux, pleure… Tu m’as dit toi-même que les sourire était souvent faux mais que les pleures ne savait mentir! Aller pleure tu n’en ai pas moins courageux a mes yeux. Je t’aime en entier avec tout tes peur tes pleurs tes rires qu’il soit vrai ou faux.

Il ne comprenait si ses paroles ni ses gestes, en fait c’était l’espoir qui guidait son cœur quand il avait crier ne plus vouloir la voir, plus jamais certainement, si bien qu’il aurait pu en devenir aveugle s’il l’aurait fallut. Et c’était bien ce qu’il avait été tout ce temps, aveugle d’amour au point de ne pas se rendre compte des erreurs du passer qui se reproduisait. En perpétuelle tuerie et douleur qui brûlait son âme d’immortel.

Si, il avait peur, et pour une rare fois de sa vie il l’avouait. Et il n’aurait pas le courage de surmonter cette crainte, aussi lui était-il impossible de lui laisser voir pourquoi sans se remettre a crier. Il fermait les yeux. Son regard mordoré se brisants comme un miroir comment pouvait-elle osez faire une telle chose? Le forcer a lui dévoiler tout ses secrets, si dure et sanglants…il refusait de tout lui montrer, mais elle refusait quand a elle de le laisser partir, pourquoi ne pas simplement comprendre, le laisser fuir honteux sans demander les explication nécessaire…

- lâche moi ! je refuse de te le dire ! de parler…

elle ne pouvait le retenir contre son gré…normalement elle n,aurait pas pu mais aujourd’hui… il se sentait trop faible pour riposter… a la moindre remarque sarcastique comme a chaque geste douloureux qu’elle pouvait poser. Mais malgré ce qu’il venait de dire il avait envie de lui crier cette raison idiote qui venait de le frapper de plein fouet. Crier simplement… tout naturellement :

- JE L’AI TUÉ C’EST CELA QUE TU VEUX VOIR !

Aussi inconsciemment que innocemment, il avait tout laisser tomber, trop faible mentalement pour continuer à se battre après a peine quelques minutes en sa présence. Ses yeux brumeux d’une aurore rougie par les larmes ouvrirent leurs secrets à Anako. Et tendis qu’il voyait tout aussi bien la vie d’Anako défiler par tranche de vie devant lui, il ne put que s’enfoncer plus loin que la fois précédente, et il lui semblât que tout devint extrêmement douloureux quand il revit sa rencontre, comme tout les soirs passé en sa présence et la recherche de Métrixi…et entre temps il voyait des bride de sa propre vie s’échapper et infailliblement se moment crucial qui hantait ses pensées. Revoyant indéfiniment Alessandro perdre son sang atterré par son protéger, si fidèle amour et amant qui tenait dans sa main, la lame ensanglanté et les mains remplit de fierté et de haine.

Mais cette douleur languissante qui brûlait ses joues comme des larme de sang enflammé, n’égalait pas celle de son pouvoir, si bien qu’il ne sentit jamais ses membres se raidir, puisque de nature il avait abandonné toute chance de s’échapper et qu’il ne souhaitait même plus en avoir le moindre contrôle, sa tête ne ressentit jamais les effet néfaste de la torture, mais plutôt résonnait dans l’échos de la voie d’Alessandro. Parcourut d’un dernier frisson, un spasme parcourant sa colonne, il finit par rendre un dernier soupir avant de retomber inconscient. Se laissant envahir par les souvenirs pas si lointain de sa rencontre avec Anako, du tout début a la toute fin, jusqu'à aujourd’hui, il n’y manquait aucun détail… pas même cette rose frivole qu’il avait tant chercher.

Une seconde, deux secondes, trois, quatre le chapelet de ces interminables seconds s’éternisait ne semblant pas pouvoir accélérer. L’incompréhension étreignait son cœur comme elle étreignait elle-même le corps sans vie de son amour… Les mouvement les plus indistinct n’existait pas le souffle de ses respiration non plus la mort n’était pas sa maladie mais sa peine comme elle aurait aimé l’être autant que lui : mort… Le remède le plus sûr contre la souffrance d’un cœur qui bat trop fort, étant trop lourd…

Des sentiments, un cadeau du ciel lorsque l’on aime un cadeau qu’il lui avait fait s’en demandé en retour mais se cadeau est l’enfer au moment ou ce n’est que la souffrance que l’on arrive a percevoir au tréfonds de cette univers sans queue ni tête. Au plus creux de son cauchemars qui lui si réelle meurtrit sans vergogne.

Les gouttes de sang s’embrouillait dans les feuillages de se jardins de jeunesse nouvelles et si par pur hasard elle osait bouger allait fuir… elle ne pouvait pas quitte à se figer en marbre pour l’éternité!

Tant de mot elle aurait dit déversant des flots de paroles mais avant qu’ils remontaient dans sa gorge ils mourraient au barrière de ses lèvres et rien ne s’exprimait … Mais qui avait-il à dire sinon je t’aime et encore la peur de lui faire peur la faisait taire comme le plus sauvage des sentiment l’amour avait bien des manières de se tramer de manière à ne rien comprendre.

C’était sûrement un drôle de portrait que de les voir l’un contre l’autre sur le sol entrelacé ayant peur de voir l’autre comme ultime requête que de s’aimer malgré tout et si le reste du monde voyait les deux amants au milieu de se monde, le leur, s’entre déchirer pour une raison qui leur échappait plus prêt de corps que d’esprit s’accrochant à lui à lui comme à une bouée qui tanguait manquant un peu plus chaque fois de la faire flancher un peu plus chaque fois de la faire flancher

Un seul mouvement qu'elle émit dans cette infinis immobiler fut un frissn d'horreur au idée macabre qu'elle s'imaginait pour elle même